Où le TFE, produit d’une étude patiemment menée sur un sujet précis dans une discipline spécifique, doit aussi être l’objet de préoccupations formelles. Un exercice de rhétorique où des  capacités langagières, des éléments grammaticaux, des outils linguistiques sont en jeu au service de la recherche en sciences infirmières : Réflexion sur la langue …

Le document, produit par l’Agence Régionale de Santé (ARS), intitulé Procédure d’élaboration du mémoire (1), précise quelles sont les finalités du mémoire demandé aux étudiants infirmiers : il s’agit d’ « analyser la qualité des soins et améliorer sa pratique professionnelle », de « rechercher et traiter les données professionnelles et scientifiques ». … Par ailleurs, il est essentiel que, dans la formation qui aura précédé, l’étudiant travaille sur des situations de soins ou situations cliniques qui lui permettront d’apprendre à « utiliser des concepts et [à] mobiliser un ensemble de connaissances ».

On veut ici insister sur les capacités réflexives qui vont être en jeu pour l’infirmier en devenir, et le mémoire constitue bel est bien cet exercice majeur, en fin de parcours, où l’on formalise par les mots ces capacités d’analyse, de maniement des concepts et de construction des connaissances, qui doivent permettre à l’étudiant de se forger ses capacités et de se réaliser dans le métier qu’il va embrasser.

Aussi, quels que soient le sujet d’étude et la méthodologie utilisée, il faudra, « sur le papier », faire montre de rigueur et de précision. Et si la langue reste un outil, il s’agit de l’utiliser de la façon la plus efficace pour mobiliser « les compétences linguistiques et de communication écrite requises pour permettre une production pertinente et valorisante pour les étudiants (2)», afin que les résultats de la recherche effectuée soient reçus dans les meilleures conditions par ceux qui vont évaluer le travail qui aura été fait.

Cet article s’adresse aux étudiants en début de formation, nous verrons en effet que cette question de la rédaction peut être anticipée largement en amont du moment de l’écriture proprement dite du TFE, afin notamment de tirer le meilleur parti de la formation pour en enrichir le contenu argumentatif. Mais il s’adresse également à ceux qui sont sur le point d’entamer la rédaction proprement dite, afin de réviser les structures de langue utiles. On sait en effet que l’exercice du mémoire et de la recherche qui va lui donner forme, obéit à des codes, qui sont proches de ceux de la rhétorique universitaire ou académique, des termes qui ne doivent pas effrayer le futur rédacteur, mais qui nous rappellent qu’une dissertation, un mémoire, une thèse obéissent, pour le dire plus simplement aux codes de l’écrit. Il faut en effet éviter de se laisser aller aux facilités du langage parlé qui aura entre autres pour effet négatif de limiter les capacités argumentatives du rédacteur…

Pertinence, clarté, cohérence … Et la langue dans tout ça ?

Écrire un mémoire consiste à produire des connaissances, délivrer des informations scientifiques, que ce soit en sciences infirmières, en littérature ou en théologie. Et si l’on peut parler de style académique, c’est pour mettre en exergue la nécessité, pour ce type de travail, d’être fonctionnel et efficace. L’idée de style ne peut ici recouvrir la valeur esthétique que lui accorde l’écrivain, et un mémoire n’est pas le lieu pour faire œuvre d’artiste (même si une écriture stylisée dans ce sens ne nuit en rien à l’entreprise … mais ce n’est pas la priorité).

Il apparaît, par ailleurs, que la pertinence, la clarté et la cohérence sont les principaux critères d’évaluation du mémoire. C’est notamment ce que précise le document de l’ARS. Par conséquent, de tels critères ne pourraient être pris en compte si l’on omettait la question des structures linguistiques dont on sait que c’est une bonne maîtrise desdites structures qui va permettre de respecter ces critères, de décrire efficacement sa méthodologie et de construire son objet d’étude.

Nous allons tenter de définir les différentes structures linguistiques utilisées dans les différentes phases de rédaction du TFE et en quoi elles doivent constituer l’armature du cheminement intellectuel adopté.

Rappelons simplement que le TFE se construit généralement comme suit du point de vue des genres de texte : un temps consacré à l’observation (celui de la situation d’appel) et à la description voire à l’explication ; un temps d’analyse des informations recueillies lors de la recherche documentaire que suit une période consacrée plus proprement à la théorie (le cadre conceptuel) et par conséquent à l’argumentation. Puis viennent éventuellement les enquêtes de terrain et la vérification des hypothèses de recherche où les procédés d’argumentation sont là encore de rigueur.

Alors qu’entend-on précisément par structures linguistiques dans notre cas ?

Nous pouvons les aborder en les divisant en deux catégories : celles qui relèvent des compétences acquises durant la formation suivie à l’IFSI, qui sont directement liées aux connaissances évoquées au début de notre propos, et celles que l’on peut classer dans la catégorie des éléments grammaticaux, qui servent généralement à structurer le texte. Nous verrons que cette distinction n’est pas sans lien avec la dichotomie parfois simpliste faite entre le fond et la forme.

Des mots pour le fond : Les compétences langagières

Au cours de sa formation, l’étudiant infirmier pratique une activité régulière : la prise de notes, à partir des cours et des divers documents proposés à sa lecture. Ces notes permettent certes d’acquérir des connaissances, mais également de se forger ce que l’on appelle ici des compétences langagières (2). Trois tâches principales ont été identifiées pour que se construisent ces compétences spécifiques qui vont constituer cette « rhétorique » spécifique évoquée plus haut. Par conséquent, que faire, du strict point de vue de la langue, des données recueillies lors de ces prises de notes ? Quel traitement linguistique doit-on opérer ?

Il s’agit dans un premier temps de savoir les reproduire. Au-delà d’une simple répétition, il s’agit en vérité non seulement d’identifier les mots-clés (les notions) utiles à la construction de la connaissance, mais également de repérer les structures par lesquelles sont définies, expliquées ou exposées  ces notions, voire de les définir soi-même. Prenons l’exemple d’un extrait d’article paru dans la revue Recherche en soins infirmiers. Cet article traite du manque de reconnaissance dont souffre la profession infirmière, et de la nécessité, notamment à travers les recherches historiques d’une standardisation de la discipline et d’une légitimation scientifique du métier :

Ex. : La discipline infirmière, située dans l’ordre de l’humain sur le plan de la science, a de la peine à dépasser ses propres mythes pour construire son savoir spécifique. On ne sait toujours pas ce qui marque le début de notre discursivité au sein de notre espace-temps spécifique de parole par manque de recherches fondamentales en histoire. Derrière le mythe du « tout infirmier » et ses clichés, les femmes soignantes francophones subissent encore au plan épistémologique une domination culturelle imposée à la fin du XVIIIe siècle. …(3)

Certains mots ou groupes de mots (ceux que nous avons soulignés) peuvent être retenus comme mots-clés dans ce passage, certains devant être définis avec précision : la « discursivité » pouvant être entendue comme « discours (analysable) en tant que langage spécifique sur le soin infirmier », le « mythe » comme « croyance répandue, mais ne correspondant pas à la réalité », etc. La perspective historique peut également ici être prise en compte grâce à la notion de « domination culturelle » concernant une pratique professionnelle généralement associée au genre féminin …

C’est ainsi qu’on va s’approprier les connaissances, les intégrer à sa réflexion, et par conséquent alimenter en quelque sorte son réservoir langagier.

C’est aussi à partir de là qu’on pourra identifier et nommer avec précision les objets, les faits, les phénomènes, les actions, et certains observables qui pourront être en jeu notamment dans la phase de description de la situation de soins. Il s’agira ensuite de les reformuler. Dans cette deuxième tâche, le chercheur peut être amené à davantage s’impliquer, tant il pourra formuler des points de vue, des opinions,  faire des commentaires à partir de telle ou telle notion; une notion pouvant être reformulée, voire redéfinie à l’aune de la subjectivité ou du ressenti. Mais c’est ainsi que le chercheur-rédacteur fait siens les concepts, et éprouve leur validité face aux objectifs de recherche choisis … De la même manière sera-t-il conduit, et c’est la dernière tâche requise, à établir des liens ou des associations. Ici se construit notamment l’idée de cohérence dès lors qu’on aura appris à relier entre eux les concepts, les connaissances, les faits. Cette capacité à relier est de rigueur au moment de la construction du cadre conceptuel.

Grâce à ces tâches, s’acquiert bien sûr la terminologie propre à la discipline étudiée, mais se fixent également ces structures linguistiques, repérées ou peu à peu construites par soi-même, et qui sont nécessaires pour formuler avec aisance sa problématisation, pour construire scientifiquement son objet de recherche. C’est par conséquent dans ce travail débuté bien en amont du temps de la rédaction du TFE (et qui d’un point de vue pratique peut être fait à l’aide de fiches thématiques), que l’étudiant se construit un « répertoire notionnel et linguistique dans lequel il puisera les composants de sa future production, répertoire qu’il devra compléter du matériel linguistique (lexical, syntaxique) et textuel nécessaire à la structuration de son énoncé. » (4)

Des mots pour la forme : Organiser son texte …

Ce matériel va cette fois se puiser dans les structures proprement grammaticales qui sont utilisées pour articuler un texte.

Pour entrer ici dans le vif du sujet, les structures utilisées pour décrire ou caractériser ne posent pas de problème particulier. Elles interviennent notamment dans la phase où est détaillée la situation de soins. Rappelons que cette partie inaugurale du mémoire consiste, très souvent, à faire état du contexte d’étude (lieu, acteurs, pathologie(s), actions, …) en progressant toujours du général au particulier, et de la façon la plus précise. Les explications qui peuvent faire suite à ces descriptions nécessitent, quant à elles, que l’on utilise des termes ou des locutions qui vont pouvoir donner plus de liant au texte ainsi rédigé et le rendre plus facilement compréhensible.

Ainsi si une explication consiste à laisser parler les faits, elle doit toujours le faire en présentant les enchaînements de cause à effet entre ces faits. Des locutions comme parce que ou d’autant plus que, du fait de, en raison de, faute de permettent généralement de tisser le fil de l’explication et de contribuer à la clarté du propos :

ex : Du fait d’ une maîtrise approximative du français par ce patient, il était difficile de se faire comprendre…

ex : La nécessité de la mise en place d’un soutien aux aidants se fait d’autant plus ressentir que 35 à 45% des personnes ayant un cancer souffrent de détresse émotive importante …

Cette clarté, ici assurée par une bonne organisation textuelle, est essentielle parce qu’elle va constituer un préalable solide à l’argumentation à venir, et qui sera développée dans le cadre conceptuel où il s’agira de faire émerger les concepts et les théories utiles au projet de recherche, les regrouper, les définir et bien entendu les mettre en relation. On obtient alors les mots-clés, qui permettent d’effectuer un premier débroussaillage dans la recherche documentaire. Une recherche plus affinée permettra éventuellement par la suite de délimiter des sous-catégories de recherche pour chaque concept.

La démarche compréhensive (6) a sans doute contribué à enrichir le vocabulaire de la recherche. Les concepts, et les mots qui servent à les nommer, les définir, doivent par conséquent être d’autant plus précis. À cet effet, il vaut mieux par exemple, cela s’impose d’ailleurs dans le cadre d’une recherche, accorder une préférence aux termes spécifiques plutôt que génériques (7). Par ailleurs, si aujourd’hui, nous sommes dans une « approche anthropologique des soins » (Lecordier), cela signifie également que, dans un travail de ce type, la transversalité des disciplines est à l’œuvre : si par exemple la notion de « mort » fait partie de mes concepts-clés, je vais sans doute effectuer une recherche sur la mort d’un point de vue anthropologique, sociologique, psychologique, voire philosophique (8)… Il s’agira ensuite  pour moi de recueillir et de mettre en relation les éléments les plus pertinents pour renforcer le cadre conceptuel et orienter l’analyse des résultats. Il peut par conséquent être utile d’avoir une connaissance minimale de la terminologie propre à ces différentes disciplines (sans se faire philosophe ou anthropologue pour autant), pour atteindre cette précision requise.

Au bénéfice de la clarté, la justesse des mots est également de rigueur dans un écrit scientifique. Il sera par exemple toujours utile d’exploiter les champs lexicaux (9) afin de pouvoir porter son choix sur le terme qui correspond le mieux à l’idée exprimée. Une bonne connaissance des champs lexicaux  des différentes notions d’un domaine d’étude, quel qu’il soit, ne peut que contribuer à enrichir le vocabulaire et faciliter la réflexion.

Ces outils sont essentiels, mais pour que le chercheur puisse correctement construire le tissu argumentatif de son TFE, et accomplir le travail réflexif qui est demandé, il lui faut une argumentation précise et pertinente. Cela nécessite aussi et surtout que l’on recoure à ce que l’on appelle le vocabulaire à valeur logique : Lorsqu’on produit des connaissances ou des idées, il faut articuler son texte.

Des structures linguistiques au service de la cohésion

La cohésion, à la différence de la cohérence définie un peu plus loin, ne concerne pas le niveau global du texte, mais le niveau local. Il s’agit d’utiliser les mots de liaison qui ont pour fonction d’organiser le texte.

Prenons l’exemple d’une étudiante chercheuse proposant des actions pour améliorer l’accueil des familles de patient en phase aiguë de coma et dont nous avons remanié l’argumentation à l’aide de ce vocabulaire :

Tout d’abord, un travail d’équipe est nécessaire …
En second lieu, les familles ont besoin d’un suivi, d’une continuité …
Ensuite, chaque infirmière peut mettre en place certaines actions …
Par ailleurs, l’infirmière peut également …
En définitive, l’infirmière a un rôle multidimensionnel …
      

 Certes, cet exemple est très simplifié et ces conseils peuvent sembler superflus à certains lecteurs, mais on a constaté à la lecture de divers TFE combien certains d’entre eux pouvaient être pauvres en mots de liaison, avec des phrases agglomérées les unes aux autres sans  lien logique; alors qu’un texte ordonné à l’aide de ces mots ou locutions donne immédiatement le sentiment que votre discours argumentatif est construit, et offre un meilleur rendu du point de vue de la cohérence.

De nombreux mots ou locutions permettent ainsi :
– D’introduire une idée ou une information nouvelle : d’ailleurs, de plus, quant à, voire (ne dites ou n’écrivez jamais « voire même », c’est un pléonasme …), de surcroît, en outre …
De réfuter un argument : cependant, toutefois, néanmoins, en revanche …
– D’exprimer la cause : étant donné que, vu que, puisque, effectivement …
– De préciser ou illustrer une idée par un exemple : ainsi, en effet, autrement, en d’autres termes, autrement dit …
– D’exprimer la conséquence : de sorte que, si bien que, voilà pourquoi, par conséquent …

Et bien d’autres encore, alors n’hésitez pas à les utilisez …

Ces mots donnent à votre texte un fil conducteur, assurent la cohésion et, à un niveau supérieur, participent à la cohérence (différente de la cohésion) de l’ensemble. Précisons que la cohérence concerne la signification générale du texte et obéit à trois règles principales : La première est ce que l’on appelle la règle de progression : chaque nouvelle phrase doit (autant que possible) apporter une information nouvelle par rapport à celle qui précède ; la deuxième règle est que les idées doivent s’enchaîner de façon logique, autrement dit qu’il doit y avoir un thème commun aux idées qui sont exprimées dans un passage ou un paragraphe (ne pas passer du coq à l’âne) ; la dernière implique l’absence de contradiction, ne pas dire une chose et son contraire quelques pages plus loin (ce qui serait quelque peu embarrassant en particulier le jour de la soutenance …). La cohérence est essentielle pour qu’un mémoire ne donne pas aux évaluateurs une impression de confusion.

Par ailleurs, s’il est des passages de votre mémoire où l’emploi de mots de liaison appropriés est de rigueur, c’est ce que l’on appelle les transitions. La phrase ou le court paragraphe de transition, souvent rédigé à la va-vite ou tout bonnement omis, sert, là encore, à établir un lien logique entre des sous-parties ou les parties. Il s’agit d’annoncer la thématique du passage à venir et de la justifier aux yeux de votre lecteur. Là encore, cela contribue à renforcer la cohérence de vos propositions et l’homogénéité stylistique de l’ensemble. Donc, des aspects formels de votre TFE qui sont à soigner particulièrement !

Et pour conclure …

Notre propos a visé à mettre en avant l’outil-langue. Moins que d’atteindre une perfection formelle (de toute façon inatteignable), il s’est agi de démontrer que l’utilisation de certaines ressources (celle du langage écrit) permettait de mettre en valeur le produit d’une recherche, d’enrichir le ou les vocabulaires spécifiques, parce que c’est aussi ce qui participe à développer les capacités réflexives et par conséquent à élargir le champ des possibles pour proposer des idées nouvelles, ouvrir d’autres perspectives d’étude pour la discipline des sciences infirmières.

Il n’existe sans doute pas de TFE parfait (linguistiquement parlant). Mais gageons que pour se présenter sereinement le jour de la soutenance, et pour que l’exposé oral soit structuré, précis, compréhensible, que le cheminement intellectuel soit aisé à expliciter pour l’orateur, il faudra avoir le sentiment, lors des ultimes relectures, d’avoir rédigé un TFE dont l’argumentation est solidement construite de bout en bout ; dont les résultats de recherche entrent en résonance avec une partie théorique dont les références sont pertinentes et, ce qui constituera un plus non négligeable, avec une orthographe et une syntaxe attentivement révisées.

Un travail de grande rigueur, mais sans doute aussi enrichissant à tous égards …

(Et si vous estimez que votre TFE a besoin d’être relu, faites appel à votre correcteur !
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Bibliographie :
(1) : Agence Régionale de Santé : Procédure d’élaboration du mémoire de fin d’études en soins infirmiers (source : http://www.learneos.fr/sites/vsg/ifsi/S6/docs/20120510160153/Procédure_mémoire_IFSI1.pdf)
(2) Les éléments à suivre sur les « compétences langagières » trouvent leurs sources et leurs développements dans le livre de Mangiante et Parpette (références ci-dessous).
(3) : MANGIANTE J.-M. et PARPETTE C. : Le français sur objectif universitaire, Presses Universitaires de Grenoble. 2011. p.123.
(4) NADOT M., « Recherche fondamentale en science infirmière. La recherche historique sur les fondements d’une discipline », Recherche en soins infirmiers. Février 2012. N° 109. 57-68. (source : http://www.cairn.info/revue-recherche-en-soins-infirmiers-2012-2-page-57.htm )
(5) : MANGIANTE J.-M. et PARPETTE C. : ibidem. p. 159.
(6): Voir A propos du TFE infirmier (1) : De quoi est-ce qu’il retourne ?
(7) Un terme générique est souvent trop global ou trop globalisant, alors qu’un terme spécifique cerne le sujet traité d’une manière plus précise. Exemple très simple : Si « diplôme » est un terme générique, « baccalauréat », « master » ou « doctorat » sont des termes spécifiques.
(8) : Exemple utilisé chez FORMARIER M. et POIRIER-COUTANSAIS G. : Le cadre conceptuel dans la recherche (1986) (source : http://promothee2004.free.fr/Documents/cadreconceptueletrecherche.pdf)
(9) Le champ lexical  est l’ensemble des mots qui se rapportent à une même notion. Ces mots peuvent être des noms, des adjectifs, des verbes.